(Mise à jour le 20 janvier 2025 à 14:36)
Le 22 Janvier, tous et toutes à Bercy !
Rendez-vous À 11 h
Pour sauver nos emplois, nos industries et nos services publics, toutes et tous en grève !
Imposons l’interdiction des licenciements !
le tract de l’Union départementale CGT du Val-de-Marne.)
300 000 travailleurs et travailleuses sont aujourd’hui menacé∙es de licenciement par plus de 300 « plans de sauvegarde de l’emploi ». Pendant ce temps, le patronat et les actionnaires annoncent, comme toujours, des dividendes records à près de 100 milliards d’euros pour l’année 2024 !
Le secteur industriel, Métallurgie et Chimie, est gravement touché, mais les emplois tertiaires du Commerce et des banques sont également menacés, tout comme les Services publics qui n’échappent pas à la saignée.
Le patronat continue de se goinfrer sur notre dos, grassement nourri de subventions publiques et d’exonérations fiscales, distribuées par un État à la botte du CAC 40. C’est donc avec nos impôts…
- qu’ils financent notre désindustrialisation accélérée et donc la dangereuse perte de nos savoir-faire et de notre souveraineté dans les secteurs stratégiques (Énergie, Pharmaceutique, Transports…). Au lieu de viser une indépendance fondamentale par la nationalisation de ces entreprises, nos emplois sont délocalisés vers les pays qui exploitent davantage encore la classe laborieuse ;
- qu’ils permettent au Capital de nous broyer par des charges de travail toujours plus lourdes, des contrats précaires, des conditions de travail sans cesse abîmées par la course au profit, et tout cela, pour des salaires qui ne suffisent plus, bien souvent, à même de débuter le mois dignement ;
- qu’ils détruisent nos biens communs (Santé, Éducation, Justice, Collectivités territoriales…), que les dominants jettent à la vindicte populaire comme causes de la dette publique et coupables de leur propre destruction.
Et c’est donc ainsi qu’ils détruisent la Sécurité sociale et tous nos conquis, en nous expliquant, comble du cynisme, que nous devons travailler toujours plus et toujours plus longtemps !
Qu’ils accusent les uns ou les autres pour nous diviser, privé, public, travailleur∙ses privé∙es d’emploi
ou migrant∙es, retraité∙es, ils se remplissent les poches pendant que nos frigos se vident !
Jusqu’à quel niveau de mépris et de violence ce système économique d’exploitation compte-t-il traiter les salarié∙es et leurs familles ?
Ne laissons pas faire ! Affirmons notre solidarité de classe pour défendre tous les emplois, nos salaires, nos conquis et le progrès social !
Jusqu’à quel niveau de mépris et de violence ce système économique d’exploitation compte-t-il traiter les salarié∙es et leurs familles ? Ne laissons pas faire ! Affirmons notre solidarité de classe pour défendre tous les emplois, nos salaires, nos conquis et le progrès social ! | Sur notre territoire, nombre des 1000 salarié∙es d’Air liquide et de ses sous-traitants sont menacé∙es, chez Sanofi, c’est 288 ! Aux Urgences de Villeneuve-Saint-Georges, nos camarades montrent l’exemple pour une victoire totale : 100 % de réussite ! |